Collège Pasteur de Plaisance

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Une semaine "Santé/Citoyenneté" pour les élèves

Toute cette semaine du 24 au 28 avril sera consacrée à l'éducation, à la santé et à la citoyenneté au collège Pasteur de Plaisance. Des activités sur l'alimentation,l'hygiène, la prévention des diverses addictions, la sécurité routière, les dangers d'internet.

Ces actions s'inscrivent dans une politique éducative sociale et de santé en faveur des élèves, au travers d'un parcours santé/citoyenneté afin de faire acquérir à chaque élève les connaissances lui permettant de prendre en charge de façon autonome et responsable sa propre santé.

Divers intervenants animeront ces séances (nutritionniste, psychologue,infirmière, gendarmerie).

Lundi matin c'est l'adjudant Jérôme Saves chef de la brigade de Plaisance qui intervenait auprès d'une classe de 5°1 pour expliquer aux jeunes élèves les dangers proposés par Internet. Internet invention magique sur laquelle les jeunes enfants d'évidence vont naviguer avec délectation sans se douter le moins du monde de tous les dangers qui les guettent au moindre "clic". Les propositions sont alléchantes, souvent ils s'y engouffrent avec toute l'innocence de leur jeune âge sans suspecter que derrière tout cela il n'y a pas forcément des gens honnêtes qui peuvent les amener sur "des chemins de traverse" ,les piéger, les faire chanter, parfois les pousser à des solutions extrêmes.

Il a recommandé prudence aux enfants, leur a demandé de ne pas craindre de parler de leurs problèmes s'ils en rencontrent à leurs enseignants, leurs parents, à ne pas rester enfermés dans la nasse où pervers et pédophiles ont pu les enfermer. L'addiction aux jeux peut être aussi destructrice, coûteuse, dangereuse pour qui n'y prend garde.

Son intervention n'a pas été un monologue, elle a été au contraire très interactive, confiante, sincère, et de jeunes gamins ont confié qu'ils naviguaient allègrement sur tout ce qui était navigable, légalement ou pas compte tenu de leur âge, sans forcément appréhender le danger que cela représentait pour eux.

Jérôme Saves a bien précisé que la gendarmerie n'était pas là pour réprimer, mais pour informer, prévenir que sa porte était ouverte pour tous ceux qui en auraient besoin. Message reçu 5 sur 5.

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